Pleatmouth propose à ses élèves, et ce depuis des années, de s'inscrire à différents clubs afin d'enrichir leur vie universitaire. À travers les âges, les élèves ont ainsi eu la possibilité de s'investir pleinement dans des activités extra scolaires qui leur correspondaient et leur permettaient de s'illustrer au sein de cette masse d'élèves anonymes. Et parce qu'il en faut pour tous les goûts et non pas seulement à ceux des Elkpaw, vous trouverez également d'autres clubs pouvant convenir au plus grand nombre.

Récapitulatif des clubs

+Sportifs

- Club de Quidditch
- Club de Flyin'Basket
- Club de Natation
- Club de Vol Synchronisé
- Club des Cheerleaders
- Club de gymnastique rythmique
- Club de Polo à dos de Pégase



+Autres

- Club de chasteté
- Club chargé de l'évènementiel
- Club d'informatique moldue
- Club d'échecs magiques
- Club de transfiguration
- Club de mode sorcière
- Club de débats
- Club de divination

Non ceci n'est pas un message subliminal destiné les ramhorn bien qu'ils soient les bienvenus à se joindre au club mais à tous les élèves de l'école. Puisque cette année n'est pas coutume, les quatre équipes recrutent activement une fois de plus puisqu'un renouvellement des équipes est effectué tous les ans changeant de façon régulière le nom des joueurs perchés sur leurs balais. Le nombre de demande est si important à chaque rentrée que le corps enseignant a décidé de réguler les inscriptions, laissant leur chance à tous dès l'ouverture des portes de Pleatmouth en début d'année scolaire.

Alors, si être haut perché sans avoir besoin de vous prendre une cuite ou ingérer des substances illicites ou encore vous soumettre à des pratiques tendancieuses, n'hésitez plus et postulez auprès de l'équipe administrative de l'université. Indiquez également si vous avez une préférence pour l'une des quatre équipes et venez passez le test. Seuls les plus doués d'entre vous auront l'immense honneur d'occuper les postes vacants. Chaque équipe se bat pour le nom de l'illustre représentant fictif ou humain qu'elle représente ainsi en premier trouvons-nous les :

■ Raven's Feather du nom du fameux journal de l'école fait la fierté de l'école depuis cinq ans. Par miracle, cette équipe recrute chaque année les plus talentueux des joueurs de Quidditch permettant à celle-ci de remporter la victoire. Talonnés de très près par les HGB, ces deux équipes rivales sont souvent à l'origine de nombreuses bagarres sur le terrain et à l'intérieur de la fac mais, ne les blâmons pas trop vite.

■ Vint ensuite en seconde l'équipe nommée HGB. Si vous n'êtes pas de Pleatmouth et que vous ignorez tout de son histoire, vous vous demanderez probablement ce que ces initiales signifient. Pour faire simple, il suffit de se référer aux illustres créateurs de cette université répondant au nom de Harald et Godefroy Brailly. Prenez les premières lettres des deux prénoms et du nom de famille et vous obtenez l'équipe souvent la plus téméraire de l'école. Ils remportent beaucoup de succès mais échouent toujours lors de leur duel final contre les Ravens. Coup du sort ou véritable arnaque, personne ne sait ce qui se passe mais les traditions perdurent et se sont instaurées depuis cinq ans. Ils sont ainsi appréciés mais aussi appelés les bons perdants. Nul doute que les membres choisis pour cette équipe seront attendus au tournant par tous les anciens joueurs y ayant officié. Le jeu est entre vos mains HGBs !

■ Réputés depuis toujours pour leur goût du risque et leur agilité, les Horny Ones portent bien leur nom. Les cheerleaders se battent pour les représenter tandis que les amateurs de Quidditch sortent leurs lunettes longues vue pour les observer en vol. Véritables accrobates aériens, ils n'ont rien à envier aux gymnastes de l'école puisqu'ils les excellent en souplesse. Peu leur importe la victoire du moment qu'ils peuvent se la raconter avec leur dernière création appelée "Le coup du samourai" visant à intimider l'adversaire (souvent un poursuiveur) avec une série de jongle impressionnante à partir du souaffle tenue mêlée à des démonstrations de haute-voltige impressionnantes. Imaginatifs mais peu efficaces en règle générale, ils pourraient exceller s'ils n'étaient pas aussi distraits par leurs prouesses.

■ Pour finir, voici les beaux-parleurs de HEAR ME ROAR. Cette équipe est plus connue pour son éloquence que pour ses véritables compétences en matière de Quidditch. Cependant, ils sont très bons pour déconcentrer leurs adversaires trouvant toujours la petite réflexion qui fera hésiter l'autre ou un ragot entendu dernièrement au sein des couloirs au sujet de la personne se trouvant devant eux. Ils sont au courant de tout pour la plupart et les autres restent juste de très bons orateurs.

Le basket est à la base un sport moldu duquel s'est inspiré le créateur de cette fabuleuse invention révolutionnaire tentant à attirer les sorciers modernes et ouverts d'esprit d'aujourd'hui ! Le brave Isaac Marcus Hampburd, ancien thésard de l'université Pleatmouth elle-même a axé ses recherches sur cette fabuleuse activité sportive qu'était le basket. Avec l'aide de quelques cobaye et une bonne ribambelle de sorts défiant toute gravité, il parvint à mettre en place un terrain révolutionnaire ne disposant que d'un seul panier.

Le but de sa thèse était de remettre en question la gravité à l'aide de la magie et l'appliquer au domaine sportif magique manquant cruellement d'innovations récentes. Aidé de plusieurs chercheurs et talentueux mages, il parvint à créer cette espèce de sphère d'un diamètre de 25 mètres pouvant tourner sur elle-même et inverser d'un coup le cours du match. Ainsi les joueurs peuvent se retrouver en gravité à essayer de marquer des buts la tête à l'envers puisque le panier est dans ce cas là accroché au sommet de la sphère. Pour ce faire, ils doivent lutter contre leur adversaire en esquivant les tentatives d'arrachage de ballon des mains mais également agir en fonction de la rotation de la sphère qui s'active toutes les cinq minutes à 90°. Comme si cela ne suffisait pas, des courants ascendants et descendants viennent bloquer la performance du joueur et peuvent parfois le repousser à l'autre bout du terrain. Leurs chaussures spécialement conçues pour leur permettre de garder l'équilibre ne sont plus efficaces lorsque la gravité est activée et qu'ils planent alors sans pouvoir plus dribler. Une règle prime, avant de marquer un panier, il faut faire un tour complet de la sphère en courant sur les parois. Cette règle n'est plus valable lorsque la gravité est activée.

Ce concept quelque peu compliqué peut être résumé comme suit :

■ Premières cinq minutes de match : le capitaines d'équipe entament un sprint pour prendre la balle située au milieu de la sphère et lorsqu'ils l'ont en main, les autres joueurs peuvent venir à leur tour. Ils peuvent marcher voire courir dans le vide mais également contre les parois de la sphère sur lesquelles ils peuvent également faire rebondir la balle à des fins de passe à un coéquipier.

■ Au bout de dix minutes de jeu : La sphère roule à 90°, le panier se retrouve alors sur l'un des deux côtés à l'horizontale sur le diamètre invisible. Ils peuvent toujours courir et tenter de marquer. Des courants ascendants les poussent au sommet de la sphère, à eux de savoir les éviter pour ne pas être désavantagés.

■ Quinze minutes de jeu : Une nouvelle inclinaison vient placer le panier au sommet de la sphère. La gravité entre en action et l'effet de leurs chaussure est annihilée. Ils doivent alors se livrer à un espèce de ballet aérien pour tenter de s'approcher du but. Les nageurs seront avantagés puisque les mouvements enseignés au club de natation leurs permettront de progresser plus rapidement dans les airs que les autres. De merveilleux paniers ont été marqués la tête à l'envers à plusieurs reprises.

■ Vingt minutes de jeu : Le panier est de nouveau collé à la paroi de gauche à l'horizontale et les mêmes règles sont appliquées. Des courants descendants les poussent cette fois vers le bas de la sphère. Un tour complet de la sphère est nécessaire avant de marquer, ne l'oubliez pas et favorisez les passes à vos coéquipiers.

Une compétition de natation est organisée au début de chaque nouvelle saison et les quatre équipes que peuvent rejoindre les nageurs de l'université en représentent chacune une. Qu'il s'agisse d'une affinité particulière avec la neige ou le soleil, les élèves décident d'eux-mêmes quelle équipe ils veulent rejoindre pour les relais organisés à la fin de chaque meeting.

Les nageurs s'entraînent tout au long de l'année et peuvent vérifier les progrès qu'ils font à chaque compétition. Au nombre de quatre, elles laissent le temps au dit nageur d'améliorer ses performances. Il s'agit d'un des rares sports de l'école où les sorts et baguettes sont interdites. La piscine est tout ce qu'il y a de plus normale et les maillots de bains ne sont pas enchantés pour faciliter les mouvements des nageurs. Ce sport noble et originellement moldu rappelle aux élèves que même dans un monde empli de magie, il reste des domaines vierges de tout sortilège et qu'il n'y a nul besoin de tout ensorceler pour réussir. La preuve, chaque année, les nageurs s'en sortent très bien et jouissent d'une popularité sans cesse croissante peut-être aidée par la plastique impeccable de leurs représentants.

ÉQUIPES

Chaque groupe est composé de deux équipes l'une masculine, l'autre féminine. Les nageurs sont au nombre de dix dans chaque équipe pour permettre des relais 4x100 mètres 4nages et plus rares -lorsque l'on atteint les quotas- 10x100 mètres nage libre. Les relais peuvent être revus à la baisse en cas de sous-population des équipes ou à la hausse en cas de surpopulation de celles-ci.

Il serait extrêmement sexiste pour ces messieurs de dire que la gymnastique rythmique à Pleatmouth est réservée aux femmes mais c'est réellement le cas. Pratique mise en avant par Venus Beauregard auprès du corps enseignant il y a de cela cent ans, les jeunes femmes souhaitant se contorsionner et s'adonner à des guerres de la souplesse sont depuis lors les bienvenues dans le gymnase bâti pour elles à l'université. Venus la semi-vélane n'eut que très peu de difficulté à faire passer son projet et au final, elle vit sa tentative couronnée de succès. D'ailleurs, le gymnase porte son nom et toutes les jeunes étudiantes rejoignant le club espèrent un jour l'égaler ce qui, jusqu'à présent, n'est jamais arrivé.

À l'image des compétitions de natation, les rencontres de gymnastique rythmique sont organisées à l'aube de chaque saison. Les gymnastes sont souvent très demandées lorsque le club en charge de l'évènementiel de l'université requiert leur présence pour animer le décor qu'ils pensent mettre en place. Ainsi elles peuvent être suspendues dans les airs à se contorsionner toute la soirée lors des grands bals ou fêtes organisées à intervalles réguliers. Leur pratique est très appréciée des jeunes hommes de l'établissement qui craquent souvent pour plusieurs d'entre elles mais qui se rendent à leurs entrainements dans un but purement intéressé. Les gymnastes entrent souvent en compétition avec les cheerleaders lorsqu'elles n'en sont pas elles-mêmes. Les cheerleaders estiment que les gymnastes ne devraient pas leur arriver à la cheville mais il faut bien avouer qu'elles sont bien plus appréciées que ces dernières.

Pour le moment, elles bénéficient seulement d'entrainements mais lorsque les saisons échangeront leur place, elles seront certainement amenées à se regrouper par équipes qu'elles auront elles-mêmes choisies. À ce moment-là, elles seront averties mais pour le moment, elles peuvent continuer à s'entraîner paisiblement .... ou pas ...

Nouveauté de cette année 2013, les élèves sont plus ou moins tous impatients d'assister aux spectacles des différentes équipes de l'école en matière de vol synchronisé. Et ici il ne s'agira pas d'équipes personnalisées à votre goût ou à ceux des professeurs ou du corps administratif mais d'équipes organisées par fraternités. Évidemment, ceux n'en faisait pas partie ont également leur place, ils peuvent alors choisir soit de rejoindre une des fraternités seulement le temps des entrainements ou alors de monter leur propre équipe afin de détrôner ces groupes d'élèves qu'ils ne comprennent pas.

Le principe est simple. À l'image de la natation synchronisées -exemple basique- les joueurs doivent effectuer une série de figures en parfaite synchronisation et ce à l'aide de leurs balais favoris. Pour cela, nul besoin de baguette ni d'accessoires. Ce qui est attendu des élèves ici est une parfaite harmonie, une entente sans faille et ce jusque dans leurs mouvements. Le tout doit être agréable à regarder, souple, fluide et parfait le tout accompagné d'une musique du choix des participants. Libre à vous de rejoindre -ou non- le club de vol synchronisé mais sachez que vous êtes tous les bienvenus. Les places sont limitées alors, ne perdez pas de temps. Nul besoin d'être sportif ici pour réussir, il suffit simplement de tenir sur un balai et de ne pas avoir le vertige ni même le mal des transports. Un peu de courage et tout ira bien !

Les spectacles compétitifs seront organisés à chaque fête de grande envergure telle qu'Halloween, Noël, le nouvel an et j'en passe et des meilleures ! Alors, gardez un oeil sur les annonces postées sur le panneau d'affichage de l'entrée et préparez-vous. Donnez-le meilleur de vous-même, soyez surprenants et surtout, faites preuve d'originalité !

De nos jours, personne n'ignore le rôle et l'immense responsabilité qu'incombe à une cheerleader. La popularité est leur mot d'ordre et leurs prouesses sont à l'image de leur superficialité pour la plupart mais elles sont d'un indéfectible soutien aux équipes qu'elles supportent. Les cheerleaders de Pleatmouth aiment se faire remarquer et de toute façon, elles n'ont pas le choix puisqu'elles doivent motiver les foules et les joueurs. Certaines entrent très rapidement en compétition mais enterrent la hache de guerre lorsqu'elles viennent à supporter la même équipe. Ce qui est bien à Pleatmouth c'est que les clubs sportifs ne manquent pas et que les cheerleaders sont libres de choisir qui supporter à chaque fois sauf lorsque le quotas de secoueuses de pompom est atteint pour une équipe donné.

N'allons pas jusqu'à dire qu'elles peuvent se crêper le chignon lors des inscriptions auprès des équipes qu'elles soutiennent ou nous entrerons dans des clichés et les cheerleaders, elles ont horreur de ça ! Elles sont très souvent aidées par le club de mode sorcière pour la création de leurs tenues qu'elles changent très régulièrement et en particulier pour les compétitions ayant lieu à chaque saison différente pour le club de natation.

Merci aux Cheerleaders de supporter chaque sport à caractère compétitif cité dans la liste et d'être présentes à chaque rencontre sportif organisée. Le nombre de cheerleaders par équipe ne doit pas excéder le nombre de cinq, compris ?

Avertissement numéro un : le premier qui demandera où sont les licornes volantes se verra immédiatement révoqué du club des Pégasius. Ces fiers cavaliers parcourent chaque année et de manière régulière l'école à dos de cheval ailé. Tel Pégase le vaillant acolyte d'Hercule dans des temps anciens, les Pegasius font parmi de la haute société de l'université. Entrer dans leur rang n'est pas chose facile et en sortir encore moins. Beaucoup d'entre eux sont originaires des Waspsting et il est inutile de préciser qu'ils n'aiment pas vraiment se mêler aux autres.

Les membres de ce club militent chaque année pour que leur sport favori soit autant reconnu que le Quidditch et que des compétitions soient organisées aussi fréquemment que leurs confrères à califourchon sur leurs balais et ils sont très proche de la réussite. Leur terrain de Polo est en pleine construction bien que les techniciens s'en chargeant aient encore quelques difficultés à tracer des lignes nettes et clair en plein air. Pour faire clair, ce sport se résume à se faire des passes à l'aide d'une espèce de canne blanche tapant dans une balle semblable à un vif d'or qui volète paresseusement entre les joueurs leur faisant parfois des feintes. Il faut être très patient et habile pour parvenir à frapper la balle et marquer mais les cavaliers de l'université sont très bons à ce jeu. Habituellement, ils jouent sans terrain et se contentent de limites de terrain imaginaires décidées en début d'entrainement.